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8 janvier 2008 2 08 /01 /janvier /2008 19:36
_ Allo, le 15 ?
_ Allo, ici les urgences.
_ J’appelle pour une personne qui vient de prendre un malaise.
_ Un malaise ? Où êtes-vous ?
_ Au bord de la mer.
_ Précisément ?
_ Près de la falaise, à côté de la statue.
_ La mer est belle ?
_ Ben…
_ Pouvez-vous me décrire la personne en question ?
_ Bon ! C’est un homme…
_ Quel âge ?
_ Je ne sais pas trop.
_ Vous la connaissez ?
_ C’est mon père.
_ Alors ?
_ Je dirais, plus de soixante ans, en gros.
_ A-t-il eu une syncope ? Bave-t-il ? A-t-il la carte vitale ? Où habite-t-il ?
_ Il est conscient.
_ A-t-il une douleur dans le bras gauche ?
_ Tu as mal au bras gauche ?
_ Non.
_ Il est jaune. Il a le teint cireux.
_ La couleur de ses yeux ?
Ainsi se poursuivit la conversation des siècles durant…
Enfin, le 15 :
_ Que voyez-vous à l’horizon ?
_ A l’horizon ?
_ Oui, en face de vous ? Au-dessus de la mer. Y a t il des oiseaux ?
_ Il y en a.
_ Pouvez-vous me les décrire ?
__ Ils sont assez loin. Des goélands, des mouettes et … de gros oiseaux aux longs cols…
_Bien, alors on arrête les frais.
Pourquoi ?
_ Mais, ma brave dame ce sont les vautours, les charognards, quoi !
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6 janvier 2008 7 06 /01 /janvier /2008 19:27

Nous ne nous pendront pas malgré les soucis qui nous accablent.

 

« …tant que nous aurons des livres, nous ne nous pendront point. »

Madame de Sévigné.

 

Aux Rochers, elle n’arrêtait pas de geindre et de se plaindre de tout et de tout le monde, la Marquise.

Elle se plaignait du mauvais temps. Il pleuvait sans cesse ; les tempêtes se déchaînaient dans son exil breton.

Elle méprisait la société provinciale qui la gênait dans ses aises et qu’elle trouvait ridicule.

Elle ne se consolait que par ses lettres, celles qu’elle écrivait, celles qu’elle recevait et par ses lectures.

Et elle aurait pu dire, comme Montesquieu, qu’il n’était pas de chagrin qu’une heure de lecture n'ait dissipé.

Ou bien encore comme Stendhal: « on ne se console pas des chagrins, on s'en distrait. »

 

J'ai mes chagrins, mes ennuis, mes contrariétés et ils ne sont pas moins attristants que les leurs. J'essaie aussi de m'en distraire par la lecture. Et par mes billets...

 

Or, un français sur deux n'achète jamais de livres. Et les français ont bien des problèmes par les temps qui courent. Pouvoir d'achat, retraites, coût de la santé, chômage...Ils ne vont pas tous se pendre pour autant.

 

Comment se consolent-ils donc de leurs « chagrins »?

 

Il ne manque pas de remèdes de nos jours: la télé, Internet, les pirouettes et les frasques de nos gouvernants etc. Voilà qui amuse le peuple et qui l'empêche de sombrer dans la plus noire morosité.

Ne vous en faîtes pas pour eux, pour nous, madame la Marquise tout va très bien, tout va très bien!

 

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4 janvier 2008 5 04 /01 /janvier /2008 16:58

Pardonne moi si je t’abandonne. Il faut savoir aussi se séparer parfois. Tu étais devenue trop exigeante. Il fallait toujours que je te prenne dans mes bras. Que je te caresse. Tu n’en faisais plus qu’à ta tête, rentrant tard le soir sans même un regard. J’avais l’impression d’être devenu ton esclave. Je ne t'avais rien demandé. tu avais quitté quelqu'un d'autre de ton propre gré. Je n'y étais pour rien. Tu t'es installée chez moi sans vergogne.

Les séparations sont toujours douloureuses et souvent cruelles. Celle-ci, je l’espère, ne durera pas trop longtemps et je penserais à toi tout au long du voyage. Mais on ne sait jamais quand on s’en va si l’on reviendra. Le retour n’est jamais sûr. Tu me manqueras, vois-tu.

Je sais, tu vas aller coucher n’importe où. Libre et sans contraintes. Tu vas faire du charme aux voisins et je ne doute pas qu’ils s’occupent de toi.

Enfin, j’espère que cet éloignement te fera réfléchir. Que tu t’interrogeras sur mon absence. Que tu seras inquiète un peu. Que, par moments, mon image fugace se figera au fond de ton coeur.

P.S : J’ai laissé ton bol de croquettes au dehors, contre la porte de la cuisine. Madame M. passera une à deux fois par jour.

Gros câlin.

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24 décembre 2007 1 24 /12 /décembre /2007 14:48

Étrennes

 

C'est le moment de se souvenir du dieu Janus qui donna son nom au mois de janvier, le dieu qui préside à toute espèce de transition d'un état à un autre. Les deux visages de la statue évoquent le présent comme transition du passé au futur. Il regarde vers l'année passée et vers l'année à venir.

Autrefois, le premier janvier était le jour où l'on offrait les étrennes, des cadeaux à titre d'heureux présages. Noël l'a supplanté aujourd'hui.

 

Restent les étrennes aux professionnels: aux éboueurs, au facteur, aux pompiers, aux concierges. Traditionnelles encore. Cependant les services rendus par certaines de ces professions ne sont plus aussi évidents qu'autrefois.

 

Cette année, en Angleterre, on constate un refus grandissant d'accorder des étrennes aux éboueurs, par exemple.

Beaucoup sont mécontents du service de ramassage des ordures ménagères.Certains éboueurs sont accueillis par des insultes, voire des coups.Quelques uns en ont assez de trier leurs déchets et ne comprennent pas qu'on n'enlève pas leurs détritus placés juste à côté de la poubelle trop pleine ou bien que les ramassages des produits recyclables n'ait lieu qu'une fois par quinzaine. Ils y voient de la mauvaise volonté, une certaine forme de paresse. Pourtant, ce n'est pas du fait des employés, mais les mairies ne les autorisent plus à le faire. Il en va de même si la poubelle n'est pas bien fermée.

Les particuliers ne voient pas au nom de quoi ils devraient verser leur obole à des professionnels qui, selon eux, sont bien payés, ont un emploi stable. Pourquoi eux auraient-ils ce privilège et pas nous, murmure-t-on ? Qu'amènent-ils de plus que ce que je fais ? Moi, si j'accepte de l'argent, déclare un autre employé municipal, un peu jaloux, on va m'accuser d'accepter des cadeaux de la part des usagers, d'être corrompu et je vais perdre mon emploi.

Il y a de la frustration dans l'air. Ce qu'ils supportent mal c'est la disparition de ces menus services que les éboueurs leur rendaient dans le passé et la complication croissante des ramassages. Ils regrettent ce bon vieux temps où il suffisait de se débarrasser de ses ordures en les empilant sur un bout de trottoir.

Il faut une contrepartie aux étrennes.

Seules les personnes âgées continuent obstinément la tradition, mais elles ne suffiront pas à sauver

ce pan de l'ancien mode de vie qui disparaît de plus en plus vite.

La Merry old England a vécu...

On ne voit pas pourquoi ce qui est vrai de l'Angleterre ne s'appliquerait pas à la France.

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21 décembre 2007 5 21 /12 /décembre /2007 16:07
La légende du père Noël, dispensateur de cadeaux, a sa source en Angleterre, à la fin du XVIIè siècle. Plus de trois siècles.
 
L’amer Noëlle
 
La mère Noëlle me reçoit dans l’entrepôt de son mari encore tout encombré de papiers cadeaux, ce 24 décembre, à 0H1minute. Ce dernier vient de terminer d’atteler ses rennes à son traîneau et par une des  lucarnes on le voit gravir les premières pentes du ciel. Ce sera le début d’une folle nuit de travail. Tout devra avoir été distribué avant le réveil des petits démons qui pour l’heure sont plongés dans leurs rêves mais qui, dès l’aube à l’heure où blanchit la campagne, bondiront comme des félins sur leurs proies…
_ le reporter : Votre bonhomme, quand va-t-il prendre sa retraite ?
_mère Noëlle : Oh, la, la ! Mon brave monsieur, on n’y songe pas encore.
_ le reporter : Pourtant il me semble qu’il n’est plus tout jeune.
_mère Noëlle : c’est bien vrai, ça… Il a commencé son boulot il y a plus de trois siècles. Vous pensez ! Je m’en souviens comme si c’était hier, pourtant. On était jeune tous les deux et à cette époque là on vivait en Angleterre… C’était mieux, paraît-il, déjà.
_ le reporter : Pour avoir droit à sa retraite il lui faudra cotiser combien de temps ?
_mère Noëlle : Comme tout le monde, quarante ans et bientôt encore plus. Avant il faisait partie des Régimes Spéciaux, vous comprenez, avec la fatigue, les risques, le travail de nuit… mais c’est fini ce bon temps.
_ le reporter : Ce n’était pas équitable, reconnaissez-le !
_mère Noëlle : Pas équitable, que vous dîtes… (Soupirs) Et s’il n’y avait que ça !
_ le reporter : Il y a autre chose ?
_mère Noëlle : Que je vous explique… Travailler six heures par an, ça ne donne droit à rien… Même au bout de trois cent ans ça ne fait encore que 1800 heures…Comme s’il n’avait travaillé qu’une année complète. Pour avoir droit à la totalité de sa retraite il faut au moins travailler 1600 heures par an depuis qu’ils ont annualisé…Si une année c’est trois cent ans, calculez combien quarante ça va lui faire. 480000 années ! On est amer. Et y a d’autres conflits avec nos patrons aussi.
_ le reporter : Il travaille pour qui ?
_mère Noëlle : la société P&F&StE.
_ le reporter : celle qui à son siège la –haut ? (Il pointe son doigt vers le ciel)
_mère Noëlle : Exactement. Ils ne veulent reconnaître que ces six heures annuelles. Mais mon pauvre monsieur ils refusent de voir que d’un bout de l’année à l’autre, il n’arrête jamais. Entre passer les commandes des jouets souhaités, les réceptionner, les conditionner, répondre au courrier des enfants… Non, ces six heures ne sont que la partie visible.
_ le reporter : Je sais. C’est un cadre comme un autre ou un professeur ou…
_mère Noëlle : Il ne demanderait pas mieux que de travailler plus pour gagner plus mais il n’en a plus le temps. 480000 ans encore à tirer !
_ le reporter : Ne vous en faites pas, mère Noëlle, d’ici là, ça aura changé. Dans presque un demi million d’années, pensez donc, la vie sur la  planète terre au train où va le monde y en aura plus !
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21 décembre 2007 5 21 /12 /décembre /2007 10:25
Des appartements hlm pour riches
         Non le bras droit de mâme Bousin n'a pas enfreint la loi. Tout provient de l'erreur d'interprétation du sigle HLM. Il faut comprendre « hors loyer modéré » et non « habitation à loyer modéré » comme voudrait nous le faire croire des gens mal intentionnés.
Et c'est ce qu'avait compris notre honnête homme. Voilà ce qui l’aura mis dans le bousin ! Mâme Bousin, elle, est honnête : elle ignorait tout, croix de feu, croix de fer si je mens je vais en enfer.
Quelle mauvaise fois chez ces écrivaillons du Canard Enchaîné ! Le tir aux perdrix a commencé avec l’appart de Juppé, celui de Guaymard etc.
Ils s’acharnent sur des gens sans défense. Ils veulent se faire leur tableau de chasse, pardi !  C’est tellement plus facile que d’aller au charbon comme elle qui n’hésite pas à salir ses belles écharpes en serrant la main des SDF, les Sous Déclarés aux Finances. 
Ils prétendent que l’honnêteté c’est l’honneur des pauvres. C’est vrai, mais alors qu’on n’essaye pas non plus de l’imposer aux riches ! À chacun sa conception, après tout. On est libre, non ? On vit dans un pays libre que je sache !
 
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21 décembre 2007 5 21 /12 /décembre /2007 09:26

Des dominants et des dominés.

Les avocats, pour essayer de retenir la clientèle des divorces, pour l'empêcher de se faire capter par les notaires, ces concurrents déloyaux, ont trouvé comme argument ultime que, dans les couples qui divorcent, même par consentement mutuel, il y a toujours un dominant qui impose le choix et un dominé qui le subit.

Depuis, je n'arrive plus à dormir tranquille, car, au cours de mes nuits d'insomnie, je tourne et je retourne l'angoissante question suivante:

Dans mon couple qui bat de l'aile, qui domine et qui est dominé?

_ Le dominant, c'est celui qui dispose de la zapette. Affirment certains.

_D'autres ajoutent:

Le dominé c'est celui qui se tape le ménage.

_ Mais quand on fait les deux, quand on est maître de la télé et esclave du balai, ce qui est mon cas, qu'en est-il alors de la domination et de la soumission ?

Problème difficile à résoudre.

Ces mots « dominants », « dominés », n'ont-ils pas, d'ailleurs, un relent de marxisme qu'on croyait enfin dépassé? Les avocats ne seraient-ils pas de dangereux subversifs cachés? À la révolution française, nombre de ces spécialistes de la parole jouèrent un rôle important, voire décisif, ne l'oublions pas.

Et si la fronde des avocats, après celle des magistrats, signalait le début d'un nouveau processus révolutionnaire ?

Alors, sommes-nous à la veille d'un soulèvement gauchiste ?

 

Mais peut-être ces termes ne font-ils allusion qu'au domaine de l'éthologie ? Chez les animaux, ne parle-t-on pas de mâle dominant ? Jamais de femelle dominante, remarquez. En tout cas pas de femelle dominant sur des mâles. Les « animales » savent rester à leur place. Chez les humains qui sont des animaux, certes, mais pas comme les autres, le problème devient plus complexe. Effectivement, il y a d'affreuses mégères qu'on peut qualifier de dominantes. Comment les reconnaître ? Je n'en sais rien.

Alors pour retrouver le calme je me dis enfin : dominés, dominants ?

_ Dodo. Domino!
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18 décembre 2007 2 18 /12 /décembre /2007 17:05
Toute ressemblance avec des personnes existantes n’est absolument pas fortuite.
 
 
Louis XIV : « Si un roi ne peut se garantir des faiblesses communes au reste des hommes, il doit au moins, en abandonnant son cœur, rester maître de son esprit. » Mémoires.
 
Extrait du Siècle de Louis XIV : (Voltaire)
 
 
…La marquise de Montespan attirait toujours l'attention principale; mais enfin elle cessait de plaire, et les emportements altiers de sa douleur ne ramenaient pas un cœur qui s'éloignait. Cependant elle tenait toujours à la cour par une grande charge, étant surintendante de la maison de la reine; et au roi par ses enfans, par l'habitude, et par son ascendant.
On lui conservait tout l'extérieur de la considération et de l'amitié, qui ne la consolait pas; et le roi, affligé de lui causer des chagrins violents, et entraîné par d'autres goûts, trouvait déjà dans la conversation de madame de Maintenon une douceur qu'il ne trouvait plus auprès de son ancienne maîtresse. Il se sentait à la fois partagé entre madame de Montespan, qu'il ne pouvait quitter, mademoiselle de Fontange, qu'il aimait, et ma­dame de Maintenon, de qui l'entretien devenait nécessaire à son âme tourmentée. Ces trois rivales de faveur tenaient toute la. cour en suspens. Il paraît assez honorable pour Louis XIV qu'aucune de ces intrigues n'influât sur les affaires générales, et que l'amour, qui troublait la cour n'ait jamais mis le moin­dre trouble dans le gouvernement. Rien ne prouve mieux, ce me semble, que Louis XIV avait une âme aussi grande que sensible.
Je croirais même que ces intrigues de cour, étrangères à l'État, ne devraient point entrer dans l'histoire, si le grand siècle de ­Louis XIV ne rendait tout intéressant, et si le voile de ces mystères n'avait été levé par tant d'historiens, qui, pour la plu­part, les ont défigurés.
 
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18 décembre 2007 2 18 /12 /décembre /2007 08:50
L’économie britannique est-elle aussi performante que voudrait nous le faire croire ceux qui la donnent en modèle et en exemple en France ?
 
Les patrons du Royaume Uni ne sont pas optimistes pour 2008. La croissance ne sera pas au rendez-vous au moins avant la fin de 2009. En 2008 elle ne sera que de 2% contre 3% cette année.
 
Le nombre de chômeurs devrait atteindre les1, 7 millions.

La croissance de la  consommation des ménages tombera à 1,9% alors qu’elle était à 3,1% en 2008.

Le taux des investissements des entreprises passera de 5,7% à 1,8% à cause de la crise du crédit.

Le prix de l’essence s’est accru de 20% depuis septembre, relançant l’inflation, réduisant les profits et les dépenses ménagères ce qui, à son tour, a tendance à accélérer le manque de croissance.

 L’inflation devrait s’élever à 2,6% contre 2,1% en 2008.
 
Cependant les patrons britanniques ne prévoient pas de récession grâce à la demande d’importation venant des pays émergents comme la Chine.
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18 décembre 2007 2 18 /12 /décembre /2007 07:52

Immigration et éducation en Angleterre.

 

Il existe 17,361 écoles primaires en Angleterre et 3,343 écoles secondaires. Dans 1338 écoles l’anglais est désormais la langue minoritaire, la langue seconde. Dans 600 d’entre elles moins du tiers des élèves parlent l’anglais. Dans 574 écoles primaires les élèves qui pratiquent l’anglais comme langue seconde représentent entre 51% et 70% du total des élèves. Dans 569 autres ils comptent pour plus de70%. Dans le secondaire, dans 112 écoles ils sont entre 51% et 70 % et dans 83 plus de 70 %. Dans le district londonien de Newham (9 écoles sur 10) la plupart des élèves utilisent l’anglais comme langue seconde.

Les enseignants tirent la sonnette d’alarme : ces classes sont difficiles à gérer et pèsent sur la qualité de l’enseignement. Le niveau baisse et il faudrait des moyens supplémentaires pour faire face à l’arrivée massive d’étrangers. Il est difficile d’achever les programmes dans de telles conditions.

Ces situations se retrouvent principalement dans la région londonienne.

Newham en est le meilleur exemple mais loin de s’alarmer d’une telle situation certains responsables n’y voient que des avantages. Le bilinguisme fait de Newham un endroit remarquable : les enfants au contact des élèves anglais acquièrent la langue très vite ; il y a moins d’intolérance et certains enseignants choisissent ce district à cause de la diversité des cultures. Newham a d’ailleurs depuis longtemps une tradition d’accueil d’immigrants et sait y faire face.

Un principal de collège se flatte d’enregistrer 42 langues différentes dans son établissement et déclare que ce n’est nullement handicapant. Beaucoup d’écoles de son secteur ont des taux de réussite supérieurs à la moyenne nationale. Ce n’est pas la différence de langues qui est un problème mais la pauvreté qui frappe souvent ces populations ainsi que les problèmes psychologiques que ces enfants ont pu rencontrer au cours de leur vie mouvementée.

 

Source : Data from the Department for Children, Schools and Families (DCSF)

 

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